Parrainé par Mady Mesplé.
S’il est souvent question de jeu dans l’œuvre d’Offenbach, une autre constante reste bien le travestissement. On se déguise beaucoup chez Offenbach. On adore se déguiser, à la scène comme à la ville. D’ailleurs les fêtes costumées du maestro sont restées légendaires. Que ce soit à Paris, passage Saulnier, rue Laffitte ou encore boulevard des Capucines, ou bien dans sa villa d’Etretat surnommée « villa Orphée » car bâtie grâce aux premiers droits d’auteur d’Orphée aux enfers. Qui dit déguisement dit farce, surtout lorsqu’il s’agit d’un ramoneur (plus exactement un fumiste) qui doit se faire passer pour la cousine de La Bonne d’enfant, afin d’échapper aux foudres d’un artilleur rival…