Proposé par Clément Beauvoir
Bonjours et bonjours,
Les b-Ateliers s’adressent à tous ceux qui les écoutent, je répète, les b-Ateliers s’adressent à tous ceux qui les écoutent (pour ceux qui entendent mal, n’hésitez pas à nous demander d’écrire plus gros.)
Nanar revient. Non, pas celui qui était Tapie sous scandales et maillots de foot, non. Nanar et son navet. N’aviez-vous pas saisi ?
C’est le retour d’« Un peu de navet Nanar », notre séance ciné décalé à nous menée de main de maître par monsieur Clément Beauvoir, expert incertifiable et bouleversifiant du cinéma dit « bis ». Bis parce qu’on en redemande ! Oui ! Pourquoi le ter ?
(Nous tenons ici à présenter nos excuses à toutes celles et ceux d’entre vous qui développeraient un début de migraine à la lecture de ce qui précède. Nous allons en venir aux faits. Comme disait Euridyce.)
Ce mercredi 30 mars, à 19h30, nous ouvrons grand nos portes pour une nouvelle projection inédite ! Au programme : «Gui da gui ». Ou « Spooky encounters ». Ou « l’exorciste chinois » réalisé en 1980 par Sammo Hung. Que vous connaissez en fait. Si si. « Le flic de Shangaï », c’était lui. Voilà.
Mais là, rien à voir. Nous ne sommes pas dans un Nanar à proprement parler puisqu’il s’agit d’un film décalé, certes, bien décalé même, mais réussi ! (Le Nanar étant, par définition, magistralement raté). « Gui da gui » est une comédie historique de Kung-fu horrifique. Et, sincèrement, je ne vois pas ce qu’il vous faut de plus.
Le film sera-t-il à la hauteur de son genre ? Oh oui. Sera-t-il présenté par un hôte de qualité, portant le verbe haut du sommet de sa voix de basse et maniant aussi bien l’ironie cinglante que la répartie fracassante ? Dix-sept mille trois cent quatre-vingt fois oui. Y aura-t-il de quoi se sustenter en accompagnement ? Avez-vous vraiment besoin de poser la question ?
Quant au prix ? Ma foi, libre. Libre libre libre. Avec une belle boîte à prix libre à remplir à ras-bord, en fonction de vos possibilités. Libres d’évaluer ce que vaut une soirée spectacle et repas en péniche joyeuse ! Libres de nous permettre de poursuivre nos aventures et d’en inventer d’autres (et croyez-nous, il y en a d’autres à venir !). Libres de vous débarrasser de tous ces billets de 500 euros qui prennent trop de place dans les poches. Bref. La liberté quoi.
En liquide par contre.
La liberté.
On n’a pas la machine à carte.
A bon entendeur (ou à malentendant, on fait pas de différence) salut ! Et amitiés ! Et venez nombreux, mercredi 30, 19h30.
Les b-Ateliers et leurs pellicules secouent bien fort la tête dans l’attente de votre réponse.