(lendemain du 14 juin si tout se passe comme prévu)
19h : Après une ouverture du bar en terrasse dès 18h, nous vous proposons d’embarquer pour une trilogie dingue. Prenez un pianiste (de type Joseph Robinne). Prenez un comédien (de type Matila Malliarakis). Séparez-les. Mélangez-les. Re-séparez-les. Vous obtiendrez tricycle. Un spectacle en trois mouvements qui se suivent et se répondent, qui se complètent tout en pouvant exister indépendamment les uns des autres.
D’abord ce sera « La maison », par Matila Malliarakis. Le directeur d’une MJC qui s’apprête à fermer ses définitivement ses portes invite de nombreux élu.e.s et célébrité.e.s ayant contribué à la beauté du lieu pour en célébrer l’histoire. Au fur et à mesure de son discours, s’apercevant qu’il est décidément seul, il devra improviser pour faire revivre les plus grands moments de cette maison si chère à son cœur.
Ensuite viendra « Un air d’en avoir deux », avec Joseph Robinne et Matila Malliarakis. Deux voisins, l’un pianiste, l’autre faisant un travail sérieux du type qui implique de porter un costard, vont évoluer côte à côte. Se répondant sans se voir, accidentellement. Grâce, notamment, à cette satanée isolation qui n’a pas été refaite. L’un rentre chez lui après le travail pour enfin ôter son costume, tandis que l’autre enfile son costume de super héros et s’apprête à sortir (non sans avoir répété ses gammes.). Que sont nos vies parallèles ? Qui devient-on chez soi ? Qui devient-on quand on en sort ? Qui sont ses inconnus que l’on côtoie au quotidien, à quelques mètres près ?
Et finalement, ce sera un concert : « Le concert de l’apprenti héros ». Joseph Robinne, nous rappelant étrangement un certain voisin que l’on vient d’apercevoir, enfilera son costume de super super pour nous offrir un concert pianistique bien à lui, quelques centimètres au-dessus-du sol. Dièse. (Cette blague n’a pas été validée par l’artiste, néanmoins il n’a pas de contrôle sur le contenu du mail. Eh eh.)
Ce Marcel Festival sera parsemé de repas, dégustations, gueuletons, préparés sur place et par nos tendres petites mains, l’ensemble des agapes et spectacles (hors bar) sera comme toujours à prix libre ! C’est-à-dire à portée de toutes et tous, mais gratuit pour personne. C’est-à-dire qu’il s’agit de donner à hauteur de ses moyens. C’est-à-dire que vous avez l’occasion rêvée de soutenir des projets doux cinglés, de ne pas vous ruiner tout en nous aidant à ne pas nous ruiner, bref, c’est gagnant gagnant quand tout le monde joue le jeu. En résumé : mettez un max dans la boîte à prix libre. Mais avec un max de liberté.
Les b-Ateliers tout en préparatifs vous attendent avec un max d’impatience !
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